Quant à ce qui rend la mode coréenne si différente, le beret lacoste rythme auquel ses consommateurs absorbent les derniers produits est plus rapide que vous ne pouvez dire «tendance». À l'heure actuelle, l'accent est mis sur les pièces et les vêtements streetwear faciles à porter qui ont été rendus populaires par l'industrie du divertissement en plein essor du pays et sa multitude de stars élégantes. Kim, qui a soutenu les marques coréennes par le biais de pop-ups et de lancements de produits chez Nordstrom, a déclaré: "Vous pourriez voir une veste sur une star du savon coréenne et cette veste se vendra dans cinq minutes. [Les consommateurs] sont ouverts à l'idée de "ce qui se passe en ce moment, nous allons l'embrasser, nous allons l'aimer, nous allons le tuer, puis nous allons passer à la prochaine chose." "

Sherlock de Benedict Cumberbatch se décrit comme un «sociopathe de haut niveau» en réponse à être qualifié par les autres de «psychopathe». La distinction entre sociopathe et psychopathe est subtile; le dictionnaire beret militaire les considère comme pratiquement synonymes. Aucun des deux termes n'est inscrit dans la référence psychologique standard, Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, où le terme préféré est trouble de la personnalité antisociale. Certains psychologues affirment que les sociopathes sont nerveux, volatils et désorganisés, tandis que les psychopathes sont prudents, manipulateurs et charmants. Un sociopathe beret noir a un peu de conscience, mais un psychopathe n'en a pas du tout.

Dans Le Chien des Baskerville, une rencontre romantique entre Sir Henry Baskerville et Mlle Stapleton a lieu malgré les ordres stricts de Holmes que Sir Henry ne quitte jamais la vue de Watson à cause de la malédiction du "chien démon". Sir Henry insiste pour qu'il aille seul, en disant à Watson, dans un dialogue qui a été inventé pour la version TV (avec Jeremy Brett comme Holmes et Edward Hardwicke comme Watson): "Vous feriez une groseille très civile, mais non - je suis j'ai peur d'y aller seul. " Étant donné que la scène est racontée dans une lettre beret rouge de Watson à Holmes dans l'histoire originale, ce choix de mot représente un charmant morceau de faux anglais victorien.

Supposons, en effet! Quelle horrible pensée! Cet élément d'horreur était quelque chose que }
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ek a repris dans le récit de Lacan sur la lamelle, le conduisant à faire le saut entre le concept psychanalytique (la lamelle représentait pour Lacan la libido ou la "pulsion de mort") et le genre d'horreur. Pour }
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ek, la lamelle - indivisible, indestructible et immortelle, une «entité de surface pure& d'abord entendue comme un son strident, puis [surgissant] comme un corps monstrueusement déformé» - est mort-vivant, ne possède pas un «sublime spirituel l'immortalité "mais plutôt" l'immortalité obscène "d'un zombie.

Est-ce leur père qui est venu pour eux? Ou est-ce, comme le suggère la baby-sitter, le spécialiste? Et est-ce ce que nous trouvons terrifiant dans l'histoire: la disparition du père, son remplacement par un simulacre, presque identique, quelqu'un qui prétend les aimer mais qui est fondamentalement un étranger? Quis est? Cela fait peut-être partie de la terreur, mais ce n'est pas tout. Ce qui nous laisse le plus troublé, je pense, n'est pas la transformation de leur père en spécialiste mais plutôt leur propre transformation, facilitée par leur interaction avec le chapeau du spécialiste - la lamelle. Et en fait c'est la lamelle qu'ils semblent devenir eux-mêmes. Pensez-y.

Ce concept du réel sera familier aux lecteurs de fictions étranges. Il est représenté dans une beret vert gamme de formes littéraires allant du maelström de Poe à l'horreur à la fin du CS
ur des ténèbres de Joseph Conrad au dieu aîné de Lovecraft Cthulhu, une créature qui présente une vision si dangereuse de l'univers qu'il ne peut pas être vu sans provoquer la folie: "The Specialist's Hat" nous terrifie de la même manière que Lovecraft nous terrifie: il fait allusion à une rencontre avec quelque chose qui est au-delà du domaine de notre expérience - la mort - et pourtant qui est en même temps si profondément ancré dans notre propre nature qu'il est toujours déjà là.